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Du Sénégal en Tanzanie en passant par le Mali et le Rwanda, les différentes études de cas qui ont fait l’objet de ces modules nous ont montré la place des politiques publiques dans la lutte contre les maladies non transmissibles.
Nous avons pu souligner à travers nos visionnages que :
– Le Sénégal dans son approche à procéder à la taxation des produits exhausteurs de goût comme les cubes ou encore les bouillons. Mais son action ne s’est pas arrêtée là. Le gouvernement a également procéder depuis le 1er janvier 2004 au remplacement de l’insuline animale par celle humaine tout en subventionnant le supplément de prix afin de la rendre accessible aux patients. C’est une action louable car responsable de la société et d’un gouvernement inquiet pour sa population.
– Au Mali comme en Tanzanie, nous avons pu souligner des actions menées par des politiques en partenariat avec les associations pour lutter efficacement contre les maladies non transmissibles. Ces actions ont beaucoup plus porté sur le renforcement des systèmes de santé par leur équipement mais aussi par la formations des prestataires de soins afin de les rendre capable à satisfaire les demandes de soins des patients.
En Tanzanie, beaucoup d’actions sont mener avec l’Association Tanzanienne du Diabète (TDA) dans les domaines de recherches, de sensibilisation et de formation également.
– Au Rwanda, la journée sans voiture décrétée par le gouvernement est un cadre politiquement crée pour faciliter les activités sportives et protectrices de l’environnement. C’est plutôt une action à double intérêt pour la population. Nous dirons dans ce cas que lorsqu’il y a la volonté, il y a les moyens. La politique créée et tue le développement.
Pour finir notre intervention, nous aimerions donc poser quelques questions:
– Quelle alternative pour l’utilisation des bouillons ou cubes alimentaires?
– Comment peut-on mener des études ou des recherches dans un état où elles ne sont pas financées et où le cadre institutionnel ne l’encourage pas?